La flore et la faune d’un tas de compost constituent l’image des relations les plus profondes entre les plantes, les animaux et le sol.
- Le choix de l’emplacement de votre tas de compost:
On commencera par préparer le sol sur lequel on fera le compost. Le plus simple est de prendre la fourche-bêche, de l’enfoncer dans la sol et de remuer un peu le manche.
Si on veut établir le tas sur une vieille prairie à la végétation dense, il est nécessaire de détruira complètement la couche d’herbe. Les aires bétonnées inhibent la décomposition du compost ; elles sont donc à exclure.
- Les ingrédient nécessaires à la fabrication de votre tas de compost:
Plus les matériaux seront variés, mieux cela vaudra
La compost mûr ne sera jamais épandu en totalité. On en mettra de côté une certaine quantité que l’on mélangera au prochain tas, auquel il servira de levain. Les vers de fumier (de couleur rouge) peuvent être multipliés dans n’importe quel jardin du moment que l’on crée les conditions nécessaires et que l’on n’a pas peur du travail. Voici comment on pourra procéder.
Dans les régions pluvieuses, on donnera aux tas une forme pointue vers le haut, dans les régions sèches on préférera une forma en rempart, plus basse et plus large. La longueur n’e aucune importance, mais elle ne doit pas être trop faible. Pour que les processus biologiques puissant se dérouler dans leur intégralité, les êtres vivants doivent en effet disposer de suffisamment de place.
Si on n’a pas de broyeur, on coupera en petits morceaux les éléments trop volumineux.
Le tas en cours de constitution doit être recouvert après chaque nouvel apport, jusqu’à ce qu’on ait à nouveau assez de matières premières et que l’on puisse le continuer.
Les préparations et activateurs seront ajoutés pendant la constitution du tas. Plus on les apporte tôt, meilleur est le résulltat.