Les cafetières Nespresso sont partout. Inventé par Nestlé, je suis étonné que cette multinationale suisse et plus précisément du canton de Vaud au bord du lac Léman, n’ait pas pensé à un système plus écologique. En effet qui de nous tous va, une fois la capsule Nespresso utilisée, s’embêter à enlever le café contenu à l’intérieur pour pouvoir mettre le café d’un côté (au compost par exemple 😉 et l’alu ailleurs ? Pas grand monde. La Suisse habitué à recycler et chez qui les bacs à compost individuels ont fait leur apparition depuis longtemps… En tant qu’amateur de café je suis le premier à les utiliser mais aussi un des seuls à les ouvrir pour récupérer le café et le mettre dans mon bac à compost. Senseo de son côté présente des dosettes contenus dans un filtre papier (type sachet de thé). Il faudrait se renseigner sur le type de papier utilisé mais il est peut être possible de le jeter directement dans son tas de compost, à voir… en attendant je continue d’utiliser ma cafetière italienne avant tout. Qu’en pensez-vous ?
A propos de café, je fais mon café avec des filtres contenant des fibres de bambou.
Très écologique, et compostable sans problèmes.
Ok David, où as-tu acheté ces filtres ? Je me demande toujours si les filtres à café vendus en supermarché sont compostables ou non ?
Je vais essayer de ne pas citer la marque… ;-)))
Il s’agit d’un modèle de filtres “Bambou” de la célèbre marque Meli**a… tout simplement ! (La mention “Bambou” est clairement indiquée sur l’emballage)
En principe, on devrait les trouver un peu partout…
Les filtres classiques (blancs ou bruns) sont probablement compostables aussi. Ils sont produits à partir de fibres de bois de conifères, et blanchis à l’oxygène (pour les blancs).
Simplement, le bambou se composte plus rapidement, et sa culture est plus écologique. De plus, la firme en question propose aux cultivateurs de bambou une rémunération équitable. Ce qui est aussi un plus (à mes yeux….)